Hier, un rassemblement était organisé devant les bureaux de la direction. Nos doléances ont été relayées par la presse médiatique et radiophonique.lire la suite
Tous en grève et rassemblement à 16 heures Place Jean-Jaurès à Saint-Gaudens
Les Fédérations CGT, FO, Sud, du secteur de la santé et de l’action sociale, réunies le 10 février 2014, refusent les politiques d’austérité que le gouvernement et les employeurs continuent d’imposer aux salariés.
Aucun secteur n’est donc épargné par les politiques de restriction qui impactent les conditions de travail et nos missions de service public. Au nom de la baisse des dépenses publiques, le gouvernement avec son « pacte de responsabilité » fait un nouveau cadeau de 30 milliards aux entreprises, en volant notre salaire différé, nos cotisations sociales.
Cette situation devrait s’aggraver avec les préconisations de la Cour des comptes « pour enrayer la spirale de la dette sociale », qui devrait passer selon elle « par un effort accru de la maîtrise des dépenses de santé », pour nos différents secteurs. C’est d’ailleurs l’objectif que le gouvernement s’est fixé dans la recherche de 50 milliards d’euros d’économies d’ici 2017 dans les services publics. Soit, selon le rapport de la Cour des comptes et le JDD du 9 février dernier, 15 milliards sur la santé, dont près de 5 milliards sur l’hôpital public.
Cette politique d’austérité, voulue par le gouvernement, s’inscrit totalement dans la continuité des gouvernements précédents. Il s’agit d’une attaque contre la sécurité sociale, les établissements et services de santé, du secteur social, et médico-social
Tous ensemble, mobilisés le 6 février, nous imposerons un changement de voie:
celle des salaires et du pouvoir d’achat, celle des services publics, des libertés syndicales , de la démocratie sociale.
Le syndicat CGT du Centre Hospitalier Comminges-Pyrénées vous présente ses meilleurs voeux pour 2014.
Restons mobilisés et solidaires pour faire aboutir ensemble nos revendications cette année
Nos cinq camarades militants cégétistes de Roanne que l’on voulait « ficher au grand banditisme » pour avoir seulement inscrit des slogans dénonçant l’ignoble réforme des retraites dont tous les salariés et retraités de France vont payer la facture, ont obtenu la relaxe. Localement, nos camarades de Blajan luttent pour maintenir leurs emplois et continuent à survivre grâce à leur pugnacité. Lire la suite sur cgtcomminges
Le droit de grève est une liberté fondamentale et un droit constitutionnel. La Générale de Santé, grand groupe du privé lucratif au chiffre d’affaires exorbitant ( près de 2 milliards d’euros en 2009), est responsable d’entraver cette liberté par des moyens vils et illicites. Lire la suite…atteinte à la liberté
Une nouvelle fois, le gouvernement fait fi de ses engagements. Comme si cela ne suffisait pas,les revalorisations minimales des grilles indiciaires de la catégories C sont prorogées au 1er février 2014: HONTEUX! lire la suite en cliquant sur Tract réforme categorie C
Les études démontrent qu’au cours d’une carrière cumulant des pénibilités, la durée de vie du salarié s’en trouve diminuée. La reconnaissance de la pénibilité est donc primordiale : elle se concrétise par une anticipation de l’âge de départ à la retraite, et des annuités supplémentaires dans le calcul de pension.Actuellement, la reconnaissance de la pénibilité débute dès 20 % de taux d’activité. Les employeurs souhaitent porter ce taux à 50 % pour 500 heures de pénibilité reconnues. Pour être actif à 100 % il faudra 1 000 heures soit 2/3 de l’activité annuelle ! Des milliers de salariés vont y perdre toute reconnaissance de la pénibilité, avec comme perspective le recul du départ en retraite et l’abaissement du niveau de pension. Lire la suite en cliquant sur remise en cause pénibilité